Les comptines phonèmes : parce que la mémoire musicale est très persistante dans notre cerveau, nous proposons aux jeunes élèves d’apprendre, en chanson, à reconnaitre et à écrire les 37 graphèmes d’usage de la langue française.
Parce que suivre la lecture de la comptine avec le doigt permet de bâtir de meilleures fondations en orthographe et en lecture, nous vous proposons de télécharger les posters ou la version karaoké (le seul karaoké que l’on peut lire sans savoir lire !).
Un outil de la progression LÉO (Lecture-Écriture Orthographiée)

Les cartes sons : 37 sons (phonèmes) dans la langue française, donc 37 cartes pour les découvrir, les assembler entre eux (f + ou = fou), les mimer, les mettre en scène et en mouvement, les suivre avec le doigt, tout est possible...
Ces 37 cartes sont complémentaires aux comptines phonèmes.
Un outil de la progression LÉO (Lecture-Écriture Orthographiée).

BD’ alphabet : au fur et à mesure de l’histoire, l’enfant reconnait les voyelles, il apprend à les lire puis à les jouer comme un acteur : « a, je suis content, i, j’ai peur, o, je suis impressionné ». Sans le savoir l’enfant construit ses premières bases graphophonologiques.
Plus tard, il pourra décoder les textes très simples qui sont écrits à proximité des noms et actions décrits dans l’histoire.
Et n’oubliez pas, suivez votre lecture avec le doigt !

L’arbre programmatique : Les enfants l’appellent l’arbre à « fabriquer des mots ». Il s’agit d’un nouveau type de référentiel pour entrer dans l’orthographe et la lecture, un référentiel plus facile que l’alphabet classique... En effet, pour écrire des mots avec un alphabet, l’élève doit acquérir 200 connaissances de base. Avec l’arbre programmatique, associé aux images orthographiques, 40 connaissances suffisent.
Un outil de la progression LÉO (Lecture-Écriture Orthographiée).

Le rituel du chef d’orchestre permet d’apprendre aux élèves à assembler les graphèmes entre eux pour former des syllabes puis un mot. CH+A=CHA. L’assemblage des graphèmes est la seconde compétence à développer pour apprendre à lire (après celle de la mémorisation des graphèmes). Les enfants aiment ce rituel car c’est « le spectacle de l’encodage d’un mot au tableau. » Encoder 3 à 6 mots par jour est une activité efficace pour entrer dans la lecture. C’est aussi une activité qui développe la mémoire orthographique de l’enfant.
Un outil de la progression LÉO (Lecture-Écriture Orthographiée

Cartes d’encodage : grâce à des dessins (nommés images orthographiques) l’enfant découvre l’ensemble des graphèmes et sous-graphèmes de la langue française répartis en 3 niveaux de difficulté (a, b, c… mais aussi on, ai, eu, ain, etc.). Chaque carte permet à l’enfant d’écrire sans erreur un mot qu’il n’a jamais écrit ou lu auparavant. Ceci avec l’aide de l’arbre programmatique.
C’est la première fois qu’un outil pédagogique permet à l’élève d’écrire sans erreur un mot qu’il n’a jamais vu, la première fois que l’élève n’a pas besoin que l’adulte lui indique les lettres du mot. L’enfant découvrant seul l’orthographe du mot, il le mémorise mieux et se construit de bonnes fondations orthographiques.
Un outil de la progression LÉO (Lecture-Écriture Orthographiée).

BD’imagier : s’amuser à observer les mots, les déchiffrer et faire des blagues en utilisant l’art de la Callipictographie, c’est-à-dire, transformer une lettre en pictogramme du mot (voir photo). Sans le savoir l’enfant construit ses fondations orthographiques en imitant les blagues des 2 jeunes héros de l’histoire.
Calli, Michipie et Pop partent visiter le Louvre. En arrivant devant la Joconde, les enfants demandent à leur grand-père comment s’écrivent les mots qui permettent de décrire ce célèbre visage : nez, oreille, bouche… Pop leur montre mais les enfants, en les recopiant ,ne peuvent s’empêcher de les callipictographier. Ils rient...

Sketchs de l’académicien : mettez en scène l’encodage d’un mot (écriture pas à pas). Ces sketchs sont ritualisés, c’est-à-dire que la trame est la même pour tous les mots. Ainsi il est facile à mettre en scène avec de jeunes élèves.
Elèves-acteurs comme élèves-spectateurs n’en tireront que des bénéfices : travail d’observation orthographique des mots, travail de la mémoire, développement de la confiance en soi, prise de conscience corporelle. Faire de l’orthographe et du théâtre en même temps, c’est enthousiasmant et efficace !

Le kit Tatou permet d’appliquer à l’apprentissage de l’orthographe, le meilleur système de mémorisation d’une information (les reprises expansées : voir chapitres 1 et 4). Chaque jour, pendant 5 à 8 minutes, l’élève entraine sa mémoire orthographique lexicale et grammaticale. Il aime choisir les mots qu’il souhaite mémoriser, il aime faire avancer les cartes dans la Boite Mémoire, il aime les coller dans son album car cela signifie qu’il a bien mémorisé l’orthographe des mots.
Cette activité, nommée « rituel de la Boite Mémoire » se pratique à deux. Soit un binôme d’élèves en classe (celui qui interroge, celui qui travaille sa mémoire puis on inverse les rôles, 15 à 20 minutes par jour), soit parent et enfant à la maison (le parent interroge, 7 à 10 minutes par jour).

BD’dicoville : le bruit court (voir image) que l’adjectif « moche » a kidnappé l’adjectif « joli ». Nos 4 héros mènent l’enquête… L’orthographe est une ville ! Son architecture en quartiers (les noms, les verbes…), son hôpital pour soigner les bobos d’orthographe et ses plaques orthographiques pour apprendre les règles et leurs exceptions en riant… Cette bande dessinée permet d’aborder divers concepts orthographiques et grammaticaux dans le cadre d’une aventure enthousiasmante.

Les sketchs de l’intronisation : basés sur l’éloquence, trois jeunes académiciens vantent chacun, tous les atouts d’un mot. A la fin du sketch, le public vote pour son mot préféré. L’élu sera intronisé par l’épée de l’académicien. Il faut d’abord écrire le texte qui va présenter le mot : son étymologie, ses jolies opacités, son sens… Ensuite on l’apprend par cœur ou on s’entraine à le lire comme un discours. Enfin on le joue devant ses camarades de classe. Orthographe et théâtre en même temps, c’est enthousiasmant et efficace, vive Molière !